Chronique d’une traversée difficile

Départ des Acores, une journée de près. Puis un peu de moteur… puis premier coup de vent, force sept au portant. Puis le vent retombe. Moteur…
Et le vent revient, sous la forme d’une grosse branlée : déferlantes, mer grosse, très grosse… Gwalarn prend la fuite, génois réduit à une couche Pampers. Une journée à courir devant la tourmente, en se relayant à la barre.
La branlée va durer 48 heures, dont 24 heures de fuite… Puis ça retombe à nouveau, on remet le moteur… Mais le vent nous rattrape, et nous ramassons un troisième coup de vent.

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